•  

    Ses débuts

      

    1972

      

    Gilles rejoint l'équipe de moto-neige

      

     

     

    1973

     

    Début en Formule Ford

     

    Obtention du titre de meilleur recrue et le titre de 

    Champion du Québec

     

    o:p>

     

     

    1974

     

    Remporte le Championnat du monde de motoneige à Eagle River, Wisconsin (USA)

     

     

     

    1974

     

    but en Formule Atlantique avec l'écurie Canda

     

     

     

     

    1975

     

    Remporte sa première victoire en carrière à

    Gimli, Manitoba

     

    1976

     

    Remporte neuf victoires en dix épreuves en

    Formule Atlantique

      

      

      Obtention du titre de Champion Canadien

    Obtention du titre de Champion Américain

      

    Première course en sol Européen en

    Formule 2 à Pau, France

      

    1977

      

    Première course en Formile 1 à Silverstone, GB

      

    Deuxième obtention du titre de Champion Canadien

     à sa 13e victoire en Formule Atlantique

      

    En septembre,

    appel de Ferrari et signature de contrat

      

      

     17 Juillet  1977 -  Silverstone

     

      

    Parti de la neuvième place sur la grille, Villeneuve prend la septième position dès le départ. 

     

    Suite à l'abandon de quelques pilotes, Gilles continue sa remontée.

     

     Mais une défaillance dans le tableau de bord fait craindre le pire. 

     

    L'aiguille du thermomètre ne cesse de grimper jusqu'à atteindre le maximum.

     

     Gilles décide au dixième tour d'aller au stand pour faire vérifier le tout. 

     

    Il apprend qu'il ne s'agit que d'une défaillance du thermomètre, rien de plus. 

     

    Retournant sur la piste, il sait qu'il n'a plus aucune chance de se classer dans les points. 

    Il laisse donc les meneurs le dépasser et les suit sans être largué.

     

     Il termine la course à la onzième place lui qui aurait pu être classé quatrième n'eut été de la pièce défaillante.

     

     

     

     

    9 Octobre 1977 - Canada

    <

    Première course avec Ferrari

     

    La deuxième course de Gilles Villeneuve en F1

     (et sa première pour Ferrari)

     a lieu à Mosport.

     

     Ayant à remplacer Niki Lauda à pied levé, Gilles doit s'adapter rapidement à une voiture ajustée selon les critères de Lauda. 

     

    Les qualifs sont, sommes toutes, assez ordinaire et Gilles prend la dix-septième place sur la grille de départ. 

     

    C'est une course très exigeante et seulement cinq des vingt-six voitures sont encore en piste à la fin de l'épreuve.

     

     Villeneuve ne peut terminer la course suite à un bris causé en partie par son agressivité envers la mécanique de la Scudéria. 

     

    Résultat :

     Un arbre de roue brisé obligeant le pilote à l'abandon.

     

     

     

     

    23 octobre 1977 - Japon

    Mont Fuji 

     

    La troisième course de Gilles en F1 est la dernière de la saison 1977 soit celle du Japon. 

     

    Niki Lauda étant déjà couronné champion et en disgrâce avec Ferrari, la voiture de Gilles porte maintenant l'ancien numéro de celle de Lauda, le numéro 11.

     

     Partant très loin sur la grille, Gilles fonce dès le départ.

     

     Six tours et quatre dépassements plus tard, Villeneuve se rapproche de la Tyrell à six roues de Ronnie Peterson. 

     

    Dans un virage, la Ferrari touche la roue arrière de la Tyrell et s'envole dans les airs.

     

     Incontrôlable, la voiture de Villeneuve se dirige vers une zone interdite au public, mais malheureusement occupée par des spectateurs.

     

     La Ferrari fauche plusieurs personnes.

     

     Deux furent tuées et 10 blessées dont 7 grièvement.

     

     Malgré l'évidence d'un freinage trop tardif de la Ferrari face à la Tyrell, aucune charge n'est portée contre Gilles Villeneuve.

     

     

     

     

    Tel que démontré dans la photo ici-bas à la droite, il est évident qu'aucun spectateur n'aurait dû se trouver dans cette zone interdite.

     Le drame allait se jouer dans les secondes suivantes...

      

     

     

     

     

     

     

     

     

    15 janvier 1978

    Argentine 

    Buenos Aires

     

    Première course terminée dans le tour du gagnant

     

    Course sans histoire ou Gilles continue sa progression en F1. 

     

    Il fut dépassé par Patrick Tambay de McLaren après une belle bagarre. 

    En plus d'être crédité du tour le plus rapide en piste, Villeneuve termine, pour la première fois en F1, une course dans le même tour que le gagnant avec une huitième place.

      

     

    Argentina GP 1978

     

     

     

     

    29 janvier 1978 

    Brésil 

     Rio de Janeiro

    "Ce type est un danger public" - Ronnie Peterson

     

     

     

    4 mars 1978 - Afrique du Sud 

     

     Kyalami

      

    Début modeste de la Ferrari T3.

     

     La course s'annonce terne pour Villeneuve et Reutemann.

     

     Les deux pilotes Ferrari ne pouvant faire mieux qu'un milieu de pelotons. 

     

    Subitement, la voiture de Villeneuve se vide de son huile laissant une longue traînée sur la piste.

     

     La journée de travail est terminée pour le numéro 12. 

     

    Comble de malheur, la Ferrari no 11 de Carlos Reutemann devint hors de contrôle à l'endroit ou la voiture de Villeneuve avait perdu son huile.

     

     La Ferrari no 11 frappe des clôtures de sécurité.

     

     Les deux Scudérias sont hors de combat !

     Course à oublier...

        

      

    Malheureusement, Gilles choisit un endroit difficile pour s'exécuter.

      

     

    7 mai 1978 - Monaco

     

    Monte-Carlo

     

    A sa première présence au circuit de Monaco, Gilles Villeneuve connaît une bonne course, réussissant même à se faufiler jusqu'en cinquième place avec 13 tours à faire.

     

     Sans songer à un podium, l'équipe Ferrari envisage de voir Villeneuve dans les points. 

     

    Subitement, dans le tunnel, la voiture no 12, qui roule à 300 Km/heure, frappe contre le rail avant de perdre une roue.

     

     La suite aurait pu tourner au tragique.

     

     Hors de contrôle par la roue manquante, La Ferrari de Villeneuve rebondit contre le rail à plusieurs reprises avant de s'immobiliser.

     

     Pour expliquer l'accident, un soupçon plane sur un possible dégonflement du pneu avant, mais surtout un doute s'encre de plus en plus profondément chez les Tifosi et les responsables de Ferrari.

     

     Allait-il pouvoir terminer ses courses un jour?

     

     

    Formula One Monaco GP 1978

     

     

     

     Il y eut contact entre la Shadow et la Ferrari. 

     

    La voiture de Villeneuve fût expulsée contre une rangée de pneus tandis que celle de Regazzoni put continuer la course. 

     

    Privé d'un podium et peut-être même de sa première victoire, Gilles dut confronter des critiques de plus en plus cinglantes à son égard.

     

     Des rumeurs de remplacement commençaient à circuler à propos de ce Canadien trop imprudent.

      

    ************************************

     

    La suite bientôt

    Merci de votre patience

     

     

     

     </o:p>


  •  

     

    Gilles Villeneuve<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>


     Né le 18 Janvier 1950 à Berthierville (Canada)
    Décédé le 8 Mai 1982 à Zolder (Belgique)<o:p></o:p>

    Pilote de F1  Mc Laren, Ferrari

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t75 coordsize="21600,21600" o:spt="75" o:preferrelative="t" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" filled="f" stroked="f"><v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:extrusionok="f" gradientshapeok="t" o:connecttype="rect"></v:path><o:lock v:ext="edit" aspectratio="t"></o:lock></v:shapetype><v:shape id=_x0000_s1026 style="MARGIN-TOP: -160.95pt; Z-INDEX: 1; LEFT: 0px; MARGIN-LEFT: -70.85pt; WIDTH: 90pt; POSITION: absolute; HEIGHT: 108pt; TEXT-ALIGN: left; mso-wrap-distance-left: 0; mso-wrap-distance-right: 0; mso-position-vertical-relative: line" type="#_x0000_t75" alt="" o:allowoverlap="f"><v:imagedata src="file:///C:\DOCUME~1\UTILIS~1\LOCALS~1\Temp\msohtml1\01\clip_image001.jpg" o:title="pivilleneuveg"></v:imagedata><?xml:namespace prefix = w ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:word" /><w:wrap type="square"></w:wrap></v:shape>Gilles Villeneuve était un pilote absolument exceptionnel.<o:p></o:p>

    Il était différent des autres pilotes.<o:p></o:p>

    Des dons aussi manifestes pour le pilotage à haute vitesse.<o:p></o:p>

    Certains pensaient que son extravagance était à la limite de l'imprudence.<o:p></o:p>

    Mais pour lui, il n'y avait qu'une façon de courir : par l'attaque à outrance, et dans n'importe quelle circonstance !<o:p></o:p>

    Le Grand Prix des Pays-Bas 1979 est le symbole même de cette obsession.

    Gilles avait été victime à Zandvoort d'une crevaison au moment où il passait devant les stands.

    Cela l'obligea à faire un tour complet avec sa Ferrari bancale. <o:p></o:p>

    Il en aurait fallu bien plus pour le contraindre à ralentir.<o:p></o:p>

     Dans l'épingle de Tarzan, il a fait un tête-à-queue à cause de son pneu arrière crevé.

    <o:p></o:p>

     Ayant évité de caler, il est reparti à fond.<o:p></o:p>

     Le pneu n'a pas résisté longtemps à son rythme endiablé : il s'est désagrégé !<o:p></o:p>

     Gilles a roulé - toujours à fond - sur la jante, laquelle s'évanouit en quelques hectomètres dans une gerbe d'étincelles.<o:p></o:p>

     Alors, ce fut au tour du porte moyeu de labourer l'asphalte : il n'y résista pas non plus.<o:p></o:p>

     Enfin, les triangles de suspension et le demi arbre de transmission furent pulvérisés à leur tour.<o:p></o:p>

     Quand il est arrivé a son stand, pour faire changer de roue, le demi train arrière gauche n'existait plus !<o:p></o:p>

     Mais lui, au volant, maintenait son moteur au régime, prêt à reprendre la piste.<o:p></o:p>

     Le mécanicien préposé au changement de roue complètement hébété à la vue de la Ferrari n°12 ainsi mutilée que Villeneuve avait ramenée après un tour d'apocalypse.

    <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Un parcours fulgurant<o:p></o:p>

    Il domina la scène de la Formule Atlantique au cours des années 70, et fin 1976 donna une prestation formidable lors d'une course internationale, à laquelle assistait James Hunt.

    <o:p></o:p>

     Cette performance lui valut une course avec McLaren au Grand Prix de Grande-Bretagne de 1977, où il stupéfia le monde de la Formule 1 en réussissant à garder le rythme des plus grands avec une voiture vieille de deux ans.

    Etrangement, McLaren ne le garda pas comme pilote, mais Ferrari fit preuve de davantage de clairvoyance et l'embaucha comme remplaçant de Lauda à la fin de l'année 1977.

    <o:p></o:p>

    Gilles, encore vénéré par les fans italiens, resta chez Ferrari jusqu'à la fin de sa carrière. ses débuts au sein de la Scuderia ne furent pas aussi brillants mais Gilles fut rapidement adopté au sein de l'équipe.<o:p></o:p>

     Notamment par les mécaniciens.

    Son charisme, sa passion, sa droiture les avaient déjà séduits.

    <o:p></o:p>

     Pour ne rien dire de son ardeur au volant, de sa pugnacité qui devinrent bientôt légendaires et qui firent de lui un véritable héros en Italie, où la course automobile va de pair avec un certain romantisme.

    Remémmorez et regardez à nouveau ce duel inoubliable et palpitant qu'était le GP de Dijon 1979 avec le non moins talentueux
     Renée Arnoux !

     

    <o:p></o:p> 

    <o:p></o:p>

    <o:p>Carlos Reutemann - Enzo Ferrari - Gilles Villeneuve</o:p>

     Malgré ses premiers résultats en dents de scie, les tifosi lui vouèrent bientôt une admiration qui confina au fanatisme.

    Sa première victoire, il l'a remporta dans son pays!!

    <o:p></o:p>

    <o:p>

    F1 1978 Canadian Grand Prix

    <o:p>2nd:Jody Scheckter         3rd:Carlos Reutemann</o:p>

    </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il aurait remporté le Championnat du monde en 1979 si son honneur ne l'avait poussé à respecter les consignes de l'équipe au Grand Prix d'Italie.<o:p></o:p>

     Ce jour-là, Gilles a suivi Scheckter à <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter ProductID="50 centim│tres" w:st="on">50 centimètres</st1:metricconverter> durant toute l'épreuve, sans jamais l'attaquer.

     Il aurait pu jouer sa carte personnelle, il n'a pas voulu le faire par loyauté.

    <o:p></o:p>

    Ce qui ne l'a pas empêché de montrer au Sud-africain, en le talonnant d'infiniment près, qu'il était là et bien là. <o:p></o:p>

    C'est peut-être la prestation qui résume le mieux son état d'esprit.<o:p></o:p>

     Villeneuve, preux combattant, était d'une sincérité et d'une honnêteté absolue.

    <o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Du pur cristal<o:p></o:p>

    Les deux années suivantes, il eut des voitures de qualité bien inférieure avec lesquelles il remporta tout de même deux victoires en 1981.<o:p></o:p>

     Le Grand Prix d'Espagne 1981 fut en ce sens, une course d'anthologie !

    <o:p></o:p>

    Gilles Villeneuve pilotait la première Ferrari à turbocompresseur, la <st1:metricconverter ProductID="126C" w:st="on">126C</st1:metricconverter>.<o:p></o:p>

     Le comportement en virage de cette puissante machine était aléatoire, mais cela ne l'a pas empêché de tenir tête à Jacques Laffite, Carlos Reutemann, John Watson et Elio de Angelis.<o:p></o:p>

     A l'arrivée, l'écart entre Villeneuve et De Angelis, classé cinquième, n'était que de 1"024 !

    <o:p></o:p>

    Le Québécois était en travers partout.<o:p></o:p>

    Jacques Laffite, qui l'attaqua sans répit, n'en revenait pas.<o:p></o:p>

     "Quoique derrière lui, je le voyait presque tout le temps de profil tant sa Ferrari glissait dans les virages !". <o:p></o:p>

    Fort de son moteur turbo, plus puissant que celui de ses adversaires directs, Villeneuve compensait avec une habileté prodigieuse la piètre tenue de route de sa Ferrari.

    <o:p></o:p>

    Il avait tellement de fierté qu'il ne lui serait jamais venu à l'idée de

    "fermer la porte"

    à ceux qui l'attaquaient.<o:p></o:p>

     Son orgueil lui imposait d'ouvrir le passage à ses adversaires.<o:p></o:p>

     Mais il freinait si tard qu'il se tenait hors de portée de leurs assauts.<o:p></o:p>

     En mettant pied à terre après leur fabuleux duel, Gilles et Jacques tombèrent dans les bras l'un de l'autre.<o:p></o:p>

     Leur combat avait été d'une loyauté totale.<o:p></o:p>

     Ce qui n'était pas étonnant de la part de ces deux sportifs exceptionnels.

     <o:p></o:p>

    Villeneuve était du pur cristal !

    <o:p>

    Jusqu’à ce qu'en 1982 il dispose enfin d'un équipement lui permettant de gagner.

    <o:p></o:p>

     Mais après que la victoire lui fut passée sous le nez à Saint-Marin, volée par son coéquipier Didier Pironi, Gilles fut très troublé.

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p>

     Il jura de ne plus jamais adresser la parole à Pironi, et deux semaines plus tard, toujours furieux contre lui, il trouva la mort lors des essais du Grand Prix de Belgique.

    <o:p></o:p>

    Cette perte fut résumée par Scheckter :<o:p></o:p>

     "Gilles était le pilote le plus rapide qu'on ait jamais vu"<o:p></o:p>

    Son irrésistible désir de se surpasser avait causé sa mort.<o:p></o:p>

     Gilles était ainsi !<o:p></o:p>

     sur le circuit de Jacarepagua, avec une Ferrari qui était loin de valoir la Brabham-BMW de Nelson Piquet, il avait encore accompli des miracles .

    <o:p></o:p>

     Même si la prestation s'était soldée par une sortie de route au trentième tour, ses pneus s'étant dégradés.

    <o:p></o:p>

    "M'arrêter ? Surtout pas : j'étais en tête et je voulais m'y maintenir...<o:p></o:p>

     ’’ Je préfère viser une victoire incertaine qu'une sixième place assurée.’’ <o:p></o:p>

    Tout était dit.

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p>Tu restera toujours dans nos coeurs !</o:p>

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p></o:p>

    <o:p></o:p> Un hommage à Gilles Villeneuve

     

    STATISTIQUES DE GRANDS PRIX

     

    <o:p></o:p> 

    Nb de GP

    Ecurie

    Points

    Poles

    records/tour

    victoires

    classement

    1977

    3

    McLaren/Ferrari

     

     

     

     

     

    1978

    16

    Ferrari

    17

     

    1

    1

    9

    1979

    15

    Ferrari

    47

    1

    5

    3

    2

    1980

    14

    Ferrari

    6

     

     

     

    10

    1981

    15

    Ferrari

    25

    1

    1

    2

    7

    1982

    4

    Ferrari

    6

     

     

     

    15

    Bilan de carrière<o:p></o:p>


    67 Grands Prix, 6 victoires<o:p></o:p>

    1978 – GP du Canada<o:p></o:p>

    1979 – GP d’Afrique du Sud<o:p></o:p>

    1979 – GP des USA Sud Est<o:p></o:p>

    1979 – GP de USA Ouest<o:p></o:p>

    1981 – GP de Monaco<o:p></o:p>

    1982 – GP d’Espagne<o:p></o:p>


    Pas de titre de champion<o:p></o:p>

     (Meilleur résultat 2e au classement général 1979)<o:p></o:p>

    </o:p>